Dans un article récent paru dans le journal Midi Libre (le 23 mai 2019) une série d’informations sont tout simplement fausses.

Le rédacteur émet des doutes sur la validité du permis de construire. Il a été mal informé par les services de la ville de Montpellier qui annoncent que « les recours ne sont manifestement pas purgés », démontrant pour le moins une difficulté de transmission de l’information en leur sein. En effet, la réalité est que le permis est purgé de tout recours depuis avril dernier et que rien ne s’oppose donc à la réalisation du projet.

L’article se complait dans le rappel d’informations sur l’origine des recours qui datent de plus de 4 ans , qui n’ont plus aucun effet à ce jour. En quoi cela éclaire-t-il les lecteurs du journal ?

Exactement comme l’allusion de l’opposition de « certains protestants » dont l’article omet de préciser le nombre et la représentativité. Il donne d’ailleurs la parole à la personne  bien connue pour son opposition systématique et obstinée à l’EPUMA, qui dénonce un projet « qui n’est qu’un habillage pour une opération immobilière ». Cette appréciation, portant sur un projet qui permettra d’accueillir une pension de famille, une résidence sociale et d’autres logements sociaux, le tout accompagné d’espaces culturels, est visiblement absurde, mais ne fait l’objet d’aucun commentaire de la part du rédacteur.

Enfin, l’auteur de l’article se permet de persifler en disant que l’un des responsables du projet « ose à peine souffler, se piquant même d’espérer que les travaux puissent prochainement démarrer », alors que le petit doute restant ne provenait que d’une difficulté matérielle qui a été réglée dès le lendemain.

De fait les travaux ont commencé. La première étape, dont on voit des images ci-dessous, consiste en le nettoyage des débris accumulés dans la cour et dans les bâtiments aux cours des occupations diverses qui ont largement compliqué l’avancement du projet.

Mais, maintenant, notre projet est sur les rails.

Nous vous tiendrons informés de la suite des événements.